Hein!!! C est pas une école pro maintenant ?
Parfait si Elle date de 90" ta photo, sa permet de situer la fin de l usine socodimex, tu connais le nom de l entreprise de charpente par hasard ?
Je rajoute la suite de l histoire
hiver 1968 socodimex avec Seeburg Et Europe 1 font un coup de promotion au jo de Grenoble
juin 1974 Après la fermeture de Electro-Kicker, l usine appartient à l état français pendant quelque mois avant quel ne soit acheté par socodimex 50%et atari 50% en septembre 1974 dans le contrat d achat l état français Oblige l exploitation de l usine à 2 ans minimum pour atari.
La seul raison qu atari soit venu en France c’était pour l ancien carnet adresses Des cafés de Electro-Kicker pour percer le marché français et vendre leur bornes coup franc pong etc...
1975 reprise des fabrication des jukes jupiter, 120ns etc.. , Nouvelle fabrication des bornes pong,tank,coup franc etc...et machines à glaçon polartic.
17-19 Octobre 1975 MOA International Music and Amusement Machines Exposition (Expo 75) au Conrad Hilton Hotel à Chicago, Atari a présenté les quatre nouveaux jeux, Horror Games Shark JAWS , Kee Games Jet Fighter , Steeplechase et Crash ' N 'Score (serait expédié en France par Atari-Europe socodimex comme: Stock-Car ).
19 novembre 1975 Atari dépose des marques déposées pour le nom «Atari» atari france devient atari. d'ou ma photo du flyer.
29 décembre 1975 En France, au capital de 600 000 F., Atari crée la filiale non détenue à 100%, Atari-Europe, SA Serge Lievoux serait président du conseil d'administration ; Jean-Jacques Gaillard serait directeur général administrateur . Localisation: 12, rue de l'Helvétie, Baume-les-Dames (localisation de l'usine de fabrication du distributeur Atari Socodimex).
5 janvier 1976 En France, la nouvelle société Atari-Europe, SA acquiert l'usine de fabrication du 12, rue de l'Helvétie, Baume-les-Dames, auprès du distributeur Atari Socodimex. Prix de vente: 700 000 F. Socodimex resterait le distributeur d'Atari en France
été 1976 Atari Europe a sorti les modèles de juke-box: 100 Rubis , 100 Rubis II , 120 Concerto
1976-1977 Création et conception du atari theater kiosque dans l’usine de baume pour l'IMA a berlin en Allemagne de l'ouest, mais n est jamais arrivé à bon port et a été retrouver à powell st station san francisco et Velizy Shopping Centre a Paris, France, un ans après En 1978 Swedish games manufacturer Cherry, Fabrique sa propre version du Atari Theatre Kiosk.
1977 au même moment stevejob travail chez atari.
Fin 1977 la socodimex Développe les jukebox atari hit 108,144,160 rustic sur la base du Seeburg sunstar sortie quelque mois avant (tient-tient le porte étiquettes et ce clavier ne vous dit pas quelque chose)

( co-ingenieur un dénommé KLEIN de chez Seeburg)
Automne 1977 En France, Atari (bill white directeur finance) a cédé sa participation majoritaire dans Atari-Europe, SA, y compris l'usine de fabrication du 12, rue de l'Helvétie, Baume-les-Dames. Le nom d'Atari-Europe, SA serait changé en Europe Electronique SA, et la société continuerait de fabriquer des jeux Atari (Coin-Op) pour la distribution européenne pour Atari.(socodimex garde le droit d'exploiter le non atari.
12-15 mars 1978 sortie des usine de socodimex la consolette breakout d atari design exclusif français
23 octobre 1980 Amiro France et Salmon SA deviennent distributeurs Atari (Coin-Op) en France, remplaçant Socodimex dans le rôle.
1982 / 1 mars 1983 environ (a confirmer), Mort de l usine socodimex aucune traces comme disparue! plus de 700000 Plans de machines parte à la destruction

début de création du lycée pro Jouffroy d'Abbans.
1 semestre 1984 A Paris, règlement judiciaire de Commerciale
d'Importation et d'Exportation (SOCODIMEX), SA
au capital de 4 365 000F.
Import-export de machines automatiques.
1986-90s Le président Serge Marcel lievoux ce reconverti dans les casinos
90s SA Commerciale d'importation et d'exportation
SOCODIMEX (23 septembre 1992)
90s décente au enfer du président extorsion etc....
2006-2007 mort de Serge Marcel lievoux dans sont appartement dans le 16eme à paris
Anecdote:
les frères gaillard De chez socodimex auraient développé l un des premier synthétiseur vocal Pour Texas instruments, puis Texas instruments les auraient refoulés puis spoliés quelques Années après pour fabriquer leur dictée magique que l'on vois dans le film E.T (c est satan ce truc!!)
c est grâce a la borne breakout de socodimex que jeutel c est lancé

comme le monde était petit à l'époque!
" Les débuts de Jeutel
LYLE : Et en quelle année vous avez découvert le jeu d’arcade ?
Quand ces jeux de tennis sont arrivés, on en a acheté à un fabriquant américain qui en vendait en France. Mais on y allait sur la pointe des pieds. Ce qui a vraiment lancé l’opération c’est Atari avec son « mur de briques ».
NOUS : Breakout !
C’est vraiment ce qui a lancé les jeux vidéo en France en 1974 (Note de Seb : en fait, 1976). Ensuite Space Invaders et Galaxian (et tous leurs dérivés). Donc j’avais besoin de jeux vidéo pour mes 2500 cafés. Et il y a quelqu’un qui avait pris en charge l’importation en France de jeux vidéo d’Atari et Midway (note de Seb : la société Socodimex). Je vais voir l’importateur, j’étais jeune, et je lui dis : « J’ai besoin de jeux pour mes 2500 clients, bon on pourrait partir sur 30 ou 40 jeux histoire de commencer ? ». Il m’a dit : « Ben petit, je te connais, je t’aime bien… Pour te faire plaisir, si tu me les payes tout de suite, dans 2 mois t’en auras… 2 ! » (rires). Il y avait beaucoup de demande et l’importateur ne pouvait commander que par séries de 20 ou 30…
SEB : Et ces bornes c’était toujours pour mettre dans des cafés ? Ou aussi dans des fêtes foraines ?
Non, uniquement dans des cafés, c’est là que ça a commencé. Donc j’ai fait mon chèque et j’ai commandé mes 2 bornes Breakout. Mais quand ils sont arrivés 2 mois après, ils ne sont jamais allés dans des cafés ! J’ai ouvert, j’ai découvert, j’ai regardé ce qu’il y avait dedans. Je ne suis pas électronicien, mais je me suis entouré de gens de bon conseil et j’ai demandé : « Qu’est-ce qu’il faudrait pour faire fabriquer ça ? ». On m’a expliqué et je me suis lancé là-dedans en entamant la production d’une série de 100 machines. Je suis parti sur 50 pour moi (pour louer à mes clients existants) et 50 pour revendre aux exploitants en espérant que ça allait me rapporter quelque chose. Mais dès le moment où on a su que je fabriquais ce jeu-là, j’ai reçu plein de commandes ! Je n’ai pas pu en mettre une seule chez mes clients : j’ai tout vendu aux exploitants ! Et ça a continué comme ça.
LYLE : Donc vous faites du flipper, ensuite le jeu vidéo arrive, vous vous lancez là-dedans, il y a quand même beaucoup à apprendre, n’est-ce pas ?
J’ai passé ma vie à apprendre ! (rires). Si j’avais appris à l’école tout ce que j’ai appris dans le courant de ma vie, ça m’aurait coûté moins cher et j’aurais gagné du temps ! Malheureusement, à l’école je voulais pas y aller, alors ! (rires).
LYLE : Mais comment est-ce qu’on apprend à produire des jeux vidéo, à les vendre ?
Holà, moi j’en sais rien… On s’entoure de gens compétents. Mais en voulant s’entourer de gens compétents qu’on ne connaît pas, on s’entoure de temps en temps de vraies brêles ! Le super ingénieur qui ne connaissait rien mais qui voulait tant de millions par mois (note de Seb : d’anciens francs, rassurez vous !), j’y ai eu droit. Ça ne fait rien, ça fait partie du jeu.
SEB : Vous rencontriez des gens dans les salons ? Vous débauchiez des gens chez les concurrents ?
Ah non, on venait me débaucher mes gens, mais moi je n’avais personne à débaucher : ça n’existait pas ! On m’a débauché des ingénieurs, des techniciens, des réparateurs de cartes… Moi j’ai fait les premiers salons dans les années 69-70, j’ai exposé mes produits tout de suite.
L’expansion de Jeutel
NOUS : Alors c’est Breakout qui a lancé Jeutel ?
L’avantage c’est qu’on (Jeutel) savait faire en une semaine ce que les américains faisaient en un mois. Ce n’est pas parce qu’on était plus forts, c’est parce qu’il n’y avait pas la distance. Il y avait des importateurs en France qui importaient les machines américaines. Elles venaient par bateau. Avant, un prototype arrivait par avion pour être testé. Moi j’achetais toujours un prototype. Et entre le moment ou ils avaient le retour de leurs prototypes, et où ils lançaient une série de 500 machines, moi j’avais déjà vu que le prototype marchait bien, j’avais déjà lancé ma série. On les battait sur la rapidité. On fabriquait tout nous même, sauf la menuiserie qu’on faisait faire en Italie. J’avais des camions qui faisaient l’aller-retour sur l’Italie, tout le temps, avec les caisses de meubles.
Et puis tout est allé très vite. Au départ, on avait un grand dépôt de 50 m2. Qu’est-ce que vous voulez qu’on fasse avec 50 m2 ? (rires). Deux mois plus tard on avait 500 m2. Moi, je prenais déjà les commandes et il fallait se débrouiller pour suivre : il fallait qu’on puisse livrer avant nos concurrents. Donc dans notre première usine de Nemours on est passés à 500 m2, puis 800 m2, puis 3000 m2… ensuite on a ouvert notre 2ème usine, la 3ème et la 4ème !"
Supposition:
Grâce au hit de Johnny, la participation de Europe 1 Et billboard USA Seeburg & socodimex ce serait bien développé en terme de visibilité à l international.
Jupiter c est pas la marque, c’est le nom de la ligne de jukebox.
Merci steph pour cette photo si tu a plus d info je prend!!!
Je veut connaître jusqu’à leur couleur de slip de l époque
correction des dates et du texte 3/12/2020 23:10