Au temps des billards électriques..
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Au temps des billards électriques..
Au temps des billards électriques, des vrais, des Liberty Belle, des tictics tels que celui que Luc Lemmens a reconverti en horloge (voir Elektor n°343 de janvier 2007, http://www.elektor.fr/magazines/2007/ja ... 8952.lynkx), la vie du dépanneur était p lus simple qu'aujourd'hui. En ce temps-là, pas de micro-ordinateur, pas de programme de test, pas de prise de diagnostic. Même pas besoin de se soucier des piles du Metrix, on ne le dégainait jamais.
La machine était son propre outil de diagnostic, il suffisait –ou presque– d'un tournevis pour détecter les pannes et d'un fer à souder pour y remédier. Les ampoules servent de voyants20et se signalent elles-mêmes quand elles sont défectueuses. Pour forcer leur alimentation, il suffit de disposer du schéma de la machine et d'un tournevis : suivant les cas, on actionne l'équipage mobile d'un relais, tous les contacts en même temps, ou bien on court-circuite seulement le contact qui alimente l'ampoule. En général, le même contact alimente plusieurs ampoules et on voit immédiatement laquelle reste éteinte.
Les ampoules sont des modèles 12 volts alimentés sous 8 V, ce qui leur confère une durée de vie très longue.
Les contacts de relais soudés sont très faciles à détecter puisqu'ils sont dénoncés inévitablement par un organe commandé en permanence ou brûlé à cause de ça.
Les tambours des compteurs, les champignons qui renvoient la boule, les flippers sont actionnés par des électro-aimants alimentés en 24 V alternatif. Si l'un d'eux ne réagit pas, il y a un doute quant à l'organe défectueux, il peut s'agir d'un fil coupé ou d'un contact de relais charbonné. Le diagnostic est simple : appu yer à la main sur le relais et court-circuiter les deux cosses de la bobine douteuse. S'il y a un arc, cela signifie que le jus arrive jusque là, le contact et les fils sont en bon état. Dessouder et remplacer la bobine. S'il n'y a pas d'arc, remonter les fils jusqu'au relais pour trouver la coupure, le plus souvent au ras d'une soudure. Si les fils sont bons, essayer de court-circuiter le contact ; en cas de besoin, le remplacer, cela fait moins de fils à dessouder que pour remplacer le relais. Une fois rentré à l'atelier, on remplace les grains de contact sur les languettes et on est parA 9 pour la prochaine réparation.
L'un des pannes fréquentes affecte la bobine de flipper. Elle se retrouve coupée après une ou plusieurs surchauffes. Cette bobine n'est pas aussi simple qu'il paraît. Il faut une forte intensité pour donner la pêche à la boule, mais cette intensité provoque un échauffement excessif si le flipper est maintenu actionné pendant un certain temps. C'est pourquoi la bobine est double : une partie avec peu de spires en gros fil et une partie avec un grand nombre de spires en fil fin. Les deux parties sont câblées en série, la partie en fil fin est court-circuitée au repos par un contact de fin de course. Au départ le gros fil pompe un fort courant ; en fin de course, le court-circuit s'ouvre et le fil fin se trouve en série, l'intensité retombe à une valeur beaucoup plus faible, mais suffisante pour le maintien en position.=2 0Un contact de fin de course déréglé ou20soudé ne s'ouvre pas, la bobine brûle.
Tout ce matériel était largement dimensionné, pour résister à des heures de fonctionnement dans les conditions les plus dures. Il est vrai qu'en plus du tournevis et du fer à souder, le dépanneur devait toujours avoir dans sa camionnette au moins une vitre de rechange. Malgré son épaisseur, elle ne résiste pas toujours à la rencontre violente avec un cul de bouteille. Le reste, la partie électro-mécanique, était construit pour résister à des militaires qui tuaient le temps à coups de canettes de bière. Et ces machines fonctionnaient ! Quand j'entrais au foyer de la base aérienne, avant de voir s'il y avait des glaces à remplacer, j'étais content d'entendre le juke-box, au moins il n'était pas en panne. C'éta it un vieux Seeburg 100 selections qui avait été placé là pour éviter d'exposer aux brutalités de la soldatesque un matériel stéréo tout neuf. Ce jour-là, pas de glace brisée, le juke-box est en marche, oui, mais sur le dos !
Brutaux, les bidasses, mais pas vraiment méchants. Au mess des officiers, c'était une autre histoire. Trois semaines de suite, le compteur de parties (interne) d'un 20 des tictics affichait un nombre énorme par rapport au contenu de la caisse. Dans ce système entièrement électro-mécanique, le compteur de crédit fonctionne comme les afficheurs : un électro-aimant fait tourner le tambour d'un cran pour une partie, soit avec les impulsions du monnayeur, soit avec le score d'un joueur. Arrivé à zéro, le tambour ouvre un contact et interdit le lancement d'une nouvelle partie. Le tambour est visible dans une fenêtre du fronton en matière plastique transparente avec les pin-ups sérigraphiées au dos. Les clients –appelons-les comme20ça– avaient percé le fronton avec un fil de fer chaud et faisaient tourner le tambour avec le fil de fer à travers ce trou. Ils avaient fini par gratter la peinture et mettre le métal à nu, ce qui m'a permis de repérer le manège. J'ai simplement glissé un morceau de verre derrière le plastique du fronton, sans rien dire. Quand même, ma bonne dame, des officiers, des aviateurs !
Le compteur de parties sert =2 0principalement à savoir si le jeu n'est pas devenu trop facile. Quand la proportion de parties gratuites devient trop forte, il faut corriger quelques réglages : ramollir la réponse des bandes et des champignons, écarter les flippers, réduire leur course, rendre le tilt plus sensible, etc. Quand les joueurs se sont habitués, on corrige à nouveau, et on finit par remplacer l'engin. On apporte une machine réglée facile pour amorcer et on recommence...
Depuis que j'ai rendu la caisse à outils et les clefs de la voiture –il y a longtemps–, je n'ai jamais remis la moindre pièce dans un tictic. C'est le symbole de l'économie actuelle : ça consomme, ça fait du bruit, ça ne produit rien, quand a réussi on a juste gagné le droit de recommencer.
---
Quelques explications en marge de l'article : il a été envoyé récemment à la rédaction de la revue ELEKTOR, mensuel d'électronique réputé, mais n'a pas pu y être publié. Avec Yann on a pensé que le site pouvait parfaitement l'accueillir ! Nous appelerons son auteur "le dépanneur masqué" (car il a souhaité garder l'anonymat). Je n'ai fait que le copier/coller dans nos colonnes. J'espère que sa lecture vous a plu
-- Pascal J.
La machine était son propre outil de diagnostic, il suffisait –ou presque– d'un tournevis pour détecter les pannes et d'un fer à souder pour y remédier. Les ampoules servent de voyants20et se signalent elles-mêmes quand elles sont défectueuses. Pour forcer leur alimentation, il suffit de disposer du schéma de la machine et d'un tournevis : suivant les cas, on actionne l'équipage mobile d'un relais, tous les contacts en même temps, ou bien on court-circuite seulement le contact qui alimente l'ampoule. En général, le même contact alimente plusieurs ampoules et on voit immédiatement laquelle reste éteinte.
Les ampoules sont des modèles 12 volts alimentés sous 8 V, ce qui leur confère une durée de vie très longue.
Les contacts de relais soudés sont très faciles à détecter puisqu'ils sont dénoncés inévitablement par un organe commandé en permanence ou brûlé à cause de ça.
Les tambours des compteurs, les champignons qui renvoient la boule, les flippers sont actionnés par des électro-aimants alimentés en 24 V alternatif. Si l'un d'eux ne réagit pas, il y a un doute quant à l'organe défectueux, il peut s'agir d'un fil coupé ou d'un contact de relais charbonné. Le diagnostic est simple : appu yer à la main sur le relais et court-circuiter les deux cosses de la bobine douteuse. S'il y a un arc, cela signifie que le jus arrive jusque là, le contact et les fils sont en bon état. Dessouder et remplacer la bobine. S'il n'y a pas d'arc, remonter les fils jusqu'au relais pour trouver la coupure, le plus souvent au ras d'une soudure. Si les fils sont bons, essayer de court-circuiter le contact ; en cas de besoin, le remplacer, cela fait moins de fils à dessouder que pour remplacer le relais. Une fois rentré à l'atelier, on remplace les grains de contact sur les languettes et on est parA 9 pour la prochaine réparation.
L'un des pannes fréquentes affecte la bobine de flipper. Elle se retrouve coupée après une ou plusieurs surchauffes. Cette bobine n'est pas aussi simple qu'il paraît. Il faut une forte intensité pour donner la pêche à la boule, mais cette intensité provoque un échauffement excessif si le flipper est maintenu actionné pendant un certain temps. C'est pourquoi la bobine est double : une partie avec peu de spires en gros fil et une partie avec un grand nombre de spires en fil fin. Les deux parties sont câblées en série, la partie en fil fin est court-circuitée au repos par un contact de fin de course. Au départ le gros fil pompe un fort courant ; en fin de course, le court-circuit s'ouvre et le fil fin se trouve en série, l'intensité retombe à une valeur beaucoup plus faible, mais suffisante pour le maintien en position.=2 0Un contact de fin de course déréglé ou20soudé ne s'ouvre pas, la bobine brûle.
Tout ce matériel était largement dimensionné, pour résister à des heures de fonctionnement dans les conditions les plus dures. Il est vrai qu'en plus du tournevis et du fer à souder, le dépanneur devait toujours avoir dans sa camionnette au moins une vitre de rechange. Malgré son épaisseur, elle ne résiste pas toujours à la rencontre violente avec un cul de bouteille. Le reste, la partie électro-mécanique, était construit pour résister à des militaires qui tuaient le temps à coups de canettes de bière. Et ces machines fonctionnaient ! Quand j'entrais au foyer de la base aérienne, avant de voir s'il y avait des glaces à remplacer, j'étais content d'entendre le juke-box, au moins il n'était pas en panne. C'éta it un vieux Seeburg 100 selections qui avait été placé là pour éviter d'exposer aux brutalités de la soldatesque un matériel stéréo tout neuf. Ce jour-là, pas de glace brisée, le juke-box est en marche, oui, mais sur le dos !
Brutaux, les bidasses, mais pas vraiment méchants. Au mess des officiers, c'était une autre histoire. Trois semaines de suite, le compteur de parties (interne) d'un 20 des tictics affichait un nombre énorme par rapport au contenu de la caisse. Dans ce système entièrement électro-mécanique, le compteur de crédit fonctionne comme les afficheurs : un électro-aimant fait tourner le tambour d'un cran pour une partie, soit avec les impulsions du monnayeur, soit avec le score d'un joueur. Arrivé à zéro, le tambour ouvre un contact et interdit le lancement d'une nouvelle partie. Le tambour est visible dans une fenêtre du fronton en matière plastique transparente avec les pin-ups sérigraphiées au dos. Les clients –appelons-les comme20ça– avaient percé le fronton avec un fil de fer chaud et faisaient tourner le tambour avec le fil de fer à travers ce trou. Ils avaient fini par gratter la peinture et mettre le métal à nu, ce qui m'a permis de repérer le manège. J'ai simplement glissé un morceau de verre derrière le plastique du fronton, sans rien dire. Quand même, ma bonne dame, des officiers, des aviateurs !
Le compteur de parties sert =2 0principalement à savoir si le jeu n'est pas devenu trop facile. Quand la proportion de parties gratuites devient trop forte, il faut corriger quelques réglages : ramollir la réponse des bandes et des champignons, écarter les flippers, réduire leur course, rendre le tilt plus sensible, etc. Quand les joueurs se sont habitués, on corrige à nouveau, et on finit par remplacer l'engin. On apporte une machine réglée facile pour amorcer et on recommence...
Depuis que j'ai rendu la caisse à outils et les clefs de la voiture –il y a longtemps–, je n'ai jamais remis la moindre pièce dans un tictic. C'est le symbole de l'économie actuelle : ça consomme, ça fait du bruit, ça ne produit rien, quand a réussi on a juste gagné le droit de recommencer.
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Quelques explications en marge de l'article : il a été envoyé récemment à la rédaction de la revue ELEKTOR, mensuel d'électronique réputé, mais n'a pas pu y être publié. Avec Yann on a pensé que le site pouvait parfaitement l'accueillir ! Nous appelerons son auteur "le dépanneur masqué" (car il a souhaité garder l'anonymat). Je n'ai fait que le copier/coller dans nos colonnes. J'espère que sa lecture vous a plu
-- Pascal J.
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article sympa...
Oui , le sujet est sympa...
Toutefois il faut remarquer que l'arrivée des CPU a entrainé la multiplicité des constructeurs de fliper-games ...
L'électro-mécanique tenait en respect jusque là des firmes qui révaient à la fabrication de cette catégorie de pinballs ...
La technique que maitrisaient Bally Gottlieb Williams Genco/Chicago Coin/Stern aux USA (et Sega au Japon, l'Italie et l'Espagne) n'était pas aussi "simpliste" qu'ici décrite !!!
L'auteur en est bien excusable : sa nostalgie étant compréhensive ...
PS: Il est vrai que les premiers modèles "SS" en ont fait baver plus d'un et leurs problèmes m'ont condamné à ne collectionner qu'une seule firme afin d'être en mesure d'y faire face... (avec beaucoup d'aides!)
Toutefois il faut remarquer que l'arrivée des CPU a entrainé la multiplicité des constructeurs de fliper-games ...
L'électro-mécanique tenait en respect jusque là des firmes qui révaient à la fabrication de cette catégorie de pinballs ...
La technique que maitrisaient Bally Gottlieb Williams Genco/Chicago Coin/Stern aux USA (et Sega au Japon, l'Italie et l'Espagne) n'était pas aussi "simpliste" qu'ici décrite !!!
L'auteur en est bien excusable : sa nostalgie étant compréhensive ...
PS: Il est vrai que les premiers modèles "SS" en ont fait baver plus d'un et leurs problèmes m'ont condamné à ne collectionner qu'une seule firme afin d'être en mesure d'y faire face... (avec beaucoup d'aides!)
- flipperantics
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salut Cuvier,
je ne crois pas que le gars connait qq chose dans les flippers tout ce qu'il raconte a déjà été dit narré par d'autre gens et les ampoules 12v avec un courant 8v j'ai un doute ensuite d'écarter les flipper pour que la bille soit perdante plus rapidement et surtout le trou dans le plastique du fronton pour faire tourner la roue des parties cela m'étonne encore le trou c'est vrai je l'ai fait comme tant d'autres et je l'ai même raconté mais on mettait une partie ce qui incriminait le compteur de 1 puis aven une aiguille on l'empêchait de tourner pour revenir à zéro.
Cela étant dit en 72 on exploitait dans plusieurs casernes (pompiers et militaires) et jamais on a jamais trouvé un jukebox sur le dos peut être ce gars a vu trop de film avec Eddie Constantine ou Tant qu'il y aura des hommes. Des vitres cassées oui mais pas dû à la bètise des alcoolos
Bernie
je ne crois pas que le gars connait qq chose dans les flippers tout ce qu'il raconte a déjà été dit narré par d'autre gens et les ampoules 12v avec un courant 8v j'ai un doute ensuite d'écarter les flipper pour que la bille soit perdante plus rapidement et surtout le trou dans le plastique du fronton pour faire tourner la roue des parties cela m'étonne encore le trou c'est vrai je l'ai fait comme tant d'autres et je l'ai même raconté mais on mettait une partie ce qui incriminait le compteur de 1 puis aven une aiguille on l'empêchait de tourner pour revenir à zéro.
Cela étant dit en 72 on exploitait dans plusieurs casernes (pompiers et militaires) et jamais on a jamais trouvé un jukebox sur le dos peut être ce gars a vu trop de film avec Eddie Constantine ou Tant qu'il y aura des hommes. Des vitres cassées oui mais pas dû à la bètise des alcoolos
Bernie
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Mais c'est ce qui reste quand on a tout oublié.flipperantics a écrit :comme disait mon maître à penser(Tzwing Bang tilt) et ça m'arrive assez souvent (de penser) sans avoir mal à la tête " la culture c'est comme la confiture moins on en a plus on l'étale". Et ceci sans vouloir dire du mal des gens.
Bernie
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Dans les anecdotes amusantes, j'ai le souvenir d'une classe de neige, en 1982 dans une toute petite station vraiment pourrie (2 uniques tire-fesses allant au même endroit !) dont l'unique bar disposait d'un très vieux flipper EM dont je ne me rappelle plus le nom.
Ce bar étant la seule attraction du coin, on y passait le plus clair de nos fins de journées et donc sur ce flipper à 1 Franc la partie.
Assez rapidement, on s'est aperçu qu'en cognant un peu brutalement le flipper, les crédits augmentaient et on ne s'en est donc pas privé !
A force de le cogner pour qu'ils nous donnent les précieux crédits, le fond de caisse à commencé à céder et voilà qu'en plus de partie gratuite, le flipper c'est mis à déverser des pièces de 1 Franc sur le sol !
Avec un couteau, on s'est empressé de forcer le destin pour le vider de son butin...
En fait, on a fini par comprendre que le flipper était là depuis tellement longtemps et que personne n'étant venu vider la caisse, les pièces restaient souvent coincées dans le monnayeur sans pouvoir s'échapper et donnaient donc continuellement de nouvelles parties.
Le flipper croulaient littéralement sous les pièces de 1 Franc, dont le poids à fait céder le fond !
En y glissant un couteau, on a tout de même récupéré quelque chose comme 300 ou 400 Francs et ce n'était qu'une toute petite partie de ce qui avait débordée de la caisse !!!
De bon souvenirs des conneries d'adolescents......
Ce bar étant la seule attraction du coin, on y passait le plus clair de nos fins de journées et donc sur ce flipper à 1 Franc la partie.
Assez rapidement, on s'est aperçu qu'en cognant un peu brutalement le flipper, les crédits augmentaient et on ne s'en est donc pas privé !
A force de le cogner pour qu'ils nous donnent les précieux crédits, le fond de caisse à commencé à céder et voilà qu'en plus de partie gratuite, le flipper c'est mis à déverser des pièces de 1 Franc sur le sol !
Avec un couteau, on s'est empressé de forcer le destin pour le vider de son butin...
En fait, on a fini par comprendre que le flipper était là depuis tellement longtemps et que personne n'étant venu vider la caisse, les pièces restaient souvent coincées dans le monnayeur sans pouvoir s'échapper et donnaient donc continuellement de nouvelles parties.
Le flipper croulaient littéralement sous les pièces de 1 Franc, dont le poids à fait céder le fond !
En y glissant un couteau, on a tout de même récupéré quelque chose comme 300 ou 400 Francs et ce n'était qu'une toute petite partie de ce qui avait débordée de la caisse !!!
De bon souvenirs des conneries d'adolescents......
- pascal j
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j'ai simplement trouvé l'article plaisant à lire et l'ai mis en ligne, avec l'accord de la revue.
je n'ai aucune raison de soupçonner l'auteur d'avoir embelli, transformé ou "travesti" le récit de ses petites tranches de vie autour de nos chères machines.
chacun a sa propre expérience, que j'adore connaitre et que je respecte sans critiquer !
je n'ai aucune raison de soupçonner l'auteur d'avoir embelli, transformé ou "travesti" le récit de ses petites tranches de vie autour de nos chères machines.
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"Parler pour ne rien dire, et ne rien dire pour parler, sont les deux principes majeurs de ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l’ouvrir." -- Pierre Dac.
et bon flippp ! -- Pascal (https://www.flippp.fr)
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