Groovy (Gottlieb 1970)
- bérenger cédric
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- Collec Perso: 0 flip
- Rech/Achete: 0 flip
- Messages : 1810
- Enregistré le : 01/10/2002
- Niveau : Expert
- Pro / revendeur : oui
- Localisation : drôme
- Contact :
Groovy (Gottlieb 1970)
Construit par Gottlieb au milieu de l’année 1970 ce jeu marque un tournant dans l’histoire de la marque.
C’est en effet le premier à posséder des drop targets !
Serte, ce n’est pas une innovation en soit, puisque Williams les utilisent déjà depuis une décennie.
Ce qui est nouveau, c’est leur utilisation en tant que bloc de cibles. Les autres marques les employant de manière unitaire.
Voici donc le premier bloque de cibles de l’histoire du flipper.
Il restera inchangé pour de nombreuses années.
Mais revenons à notre présentation.
L’ère « psychédélique » bat son plein.
Nous somme en plein mouvement baba-cool-écolo. (Woodstock n’est pas si loin)
Mais Gottlieb reste très sobre et ne basculera pas dans le tripe hallucinogène qui colore cette époque.
Plutôt gentilés nos tourtereaux !
On y voit un peu de pub au passage.
Donc, comme indique le titre, les américains n’ont pas attendu l’arrivée de Manu Katché pour faire groover !
Super groupe aux musiques certainement hyper planantes.
Le publique adore !
La backglass est réellement sublime, certainement l’une des plus colorées qui soit.
Il n’en est pas de même du plateau. Fini les graphismes détaillés des années 50’s et 60’s.
La sobriété est de rigueur.
Seules, de grosses marguerites ornent l’espace.
Elles sont présentent devant chaque passage et s’allument au fur et à mesure que l’on avance dans le jeu.
Juste quelques unes en première bille pour toutes s’allumer à la cinquième.
Le jeu débute donc par ces couloirs, celui du centre paie 100 points mais uniquement à le première bille.
Suivent, trois bumpers qui s’allument selon le traditionnel système d’alternation.
Le bumper central a une importance capitale car il modifie la valeur des cibles et des passages éclairés.
L’indication est matérialisée sur l’énorme marguerite centrale.
Chaque heurt avec le bumper rouge fait avancer la valeur de 10 points. Une fois le 50 passé, un voyant rouge s’allume.
Il a pour but de multiplier la valeur indiquée par dix. Et là, on peut donc arriver jusqu'à un total de 500 points par fleur obtenue.
Ça peut chiffrer très vite ! il ne faut pas sous estimer la puissance des fleurs !
Mais tout bascule si par mégarde on touche une fois de plus le bumper car il revient de nouveau sur la plus petite valeur possible !
C’est grisant à souhait ! Mais ce principe n’est pas nouveau pour la marque.
Inutile de préciser qu’il est assez difficile de remonter la bille, il faut passer entre les cibles.
De petits plots rajoutés derrière les droptargets évitent à la bille de se coincer, et d’autres, décalés, évitent de prendre une cave !
Rare détail, les notes de musiques qui entourent chaque cible tombante.
Gottlieb nous donne le choix d’un réglage permettant, ou pas, de faire remonter les cibles entre chaque bille.
Cela n’a pas d’emprise sur les règles de jeu vu qu’elles ne donnent aucune combinaison de plateau.
Une fois de plus, à l’instar du swing along et des ses spinners, Gottlieb se contente de la nouveauté pour faire sensation, et ne dotera
pas ce flipper d’attributs supplémentaires. Pas de spécial donc, ni d’extraball. Toutes fois un passage permet le renvoi de la bille vers le lanceur.
Les cibles ont le bon gout de remonter une fois abattues, ainsi qu’en position game over, ce qui confère au jeu un aspect plus attractif.
Mais pourquoi n’ont-ils pas conservés cela sur les jeux suivant ?
Le jeu possède également deux cibles fixes.
Et deux autres bumpers placés en entré de outlanes, principe reprit plus tard sur le jack in the box ou le old chicago de la concurrence, entre autres.
D’origine ce jeu possède de petits doigts de flip pour renvoyer la bille. Ce plateau à était transformé (percé) pour permettre l’installation de raquettes plus grandes.
C’est sur le porte-carte que l’on visionne le numéro de bille en jeu et le game over.
C’est possible grâce à un masque rétro-éclairé.
C’est un peu déroutant, car on n’a pas l’habitude de trouver ici, ces indications. Au début, on à tendance à les chercher un peu partout.
Un petit tour à l’intérieur nous informe que le jeu possède un xylo, qui brille ici par son absence.
Les compteurs sont de type décagonal.
On regrette que la caisse ne soit pas dans le thème, celle du Now aurait fait merveille.
Et, pour finir, spécial dédicace au tilt à effet papillon !
C’est en effet le premier à posséder des drop targets !
Serte, ce n’est pas une innovation en soit, puisque Williams les utilisent déjà depuis une décennie.
Ce qui est nouveau, c’est leur utilisation en tant que bloc de cibles. Les autres marques les employant de manière unitaire.
Voici donc le premier bloque de cibles de l’histoire du flipper.
Il restera inchangé pour de nombreuses années.
Mais revenons à notre présentation.
L’ère « psychédélique » bat son plein.
Nous somme en plein mouvement baba-cool-écolo. (Woodstock n’est pas si loin)
Mais Gottlieb reste très sobre et ne basculera pas dans le tripe hallucinogène qui colore cette époque.
Plutôt gentilés nos tourtereaux !
On y voit un peu de pub au passage.
Donc, comme indique le titre, les américains n’ont pas attendu l’arrivée de Manu Katché pour faire groover !
Super groupe aux musiques certainement hyper planantes.
Le publique adore !
La backglass est réellement sublime, certainement l’une des plus colorées qui soit.
Il n’en est pas de même du plateau. Fini les graphismes détaillés des années 50’s et 60’s.
La sobriété est de rigueur.
Seules, de grosses marguerites ornent l’espace.
Elles sont présentent devant chaque passage et s’allument au fur et à mesure que l’on avance dans le jeu.
Juste quelques unes en première bille pour toutes s’allumer à la cinquième.
Le jeu débute donc par ces couloirs, celui du centre paie 100 points mais uniquement à le première bille.
Suivent, trois bumpers qui s’allument selon le traditionnel système d’alternation.
Le bumper central a une importance capitale car il modifie la valeur des cibles et des passages éclairés.
L’indication est matérialisée sur l’énorme marguerite centrale.
Chaque heurt avec le bumper rouge fait avancer la valeur de 10 points. Une fois le 50 passé, un voyant rouge s’allume.
Il a pour but de multiplier la valeur indiquée par dix. Et là, on peut donc arriver jusqu'à un total de 500 points par fleur obtenue.
Ça peut chiffrer très vite ! il ne faut pas sous estimer la puissance des fleurs !
Mais tout bascule si par mégarde on touche une fois de plus le bumper car il revient de nouveau sur la plus petite valeur possible !
C’est grisant à souhait ! Mais ce principe n’est pas nouveau pour la marque.
Inutile de préciser qu’il est assez difficile de remonter la bille, il faut passer entre les cibles.
De petits plots rajoutés derrière les droptargets évitent à la bille de se coincer, et d’autres, décalés, évitent de prendre une cave !
Rare détail, les notes de musiques qui entourent chaque cible tombante.
Gottlieb nous donne le choix d’un réglage permettant, ou pas, de faire remonter les cibles entre chaque bille.
Cela n’a pas d’emprise sur les règles de jeu vu qu’elles ne donnent aucune combinaison de plateau.
Une fois de plus, à l’instar du swing along et des ses spinners, Gottlieb se contente de la nouveauté pour faire sensation, et ne dotera
pas ce flipper d’attributs supplémentaires. Pas de spécial donc, ni d’extraball. Toutes fois un passage permet le renvoi de la bille vers le lanceur.
Les cibles ont le bon gout de remonter une fois abattues, ainsi qu’en position game over, ce qui confère au jeu un aspect plus attractif.
Mais pourquoi n’ont-ils pas conservés cela sur les jeux suivant ?
Le jeu possède également deux cibles fixes.
Et deux autres bumpers placés en entré de outlanes, principe reprit plus tard sur le jack in the box ou le old chicago de la concurrence, entre autres.
D’origine ce jeu possède de petits doigts de flip pour renvoyer la bille. Ce plateau à était transformé (percé) pour permettre l’installation de raquettes plus grandes.
C’est sur le porte-carte que l’on visionne le numéro de bille en jeu et le game over.
C’est possible grâce à un masque rétro-éclairé.
C’est un peu déroutant, car on n’a pas l’habitude de trouver ici, ces indications. Au début, on à tendance à les chercher un peu partout.
Un petit tour à l’intérieur nous informe que le jeu possède un xylo, qui brille ici par son absence.
Les compteurs sont de type décagonal.
On regrette que la caisse ne soit pas dans le thème, celle du Now aurait fait merveille.
Et, pour finir, spécial dédicace au tilt à effet papillon !
recherche:
plus rien! sauf ça.
plus rien! sauf ça.
- pascal9510
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Tiens, cadeau : une tite pub d'époque !
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